Chambres personnelles

Chambres personnelles :

Dans un lieu caché de l'académie se trouve un endroit si sombre et lugubre que la lumière n'existe presque plus... Vous voulez retrouvez votre chambre, utilisez votre instinct et dévelopez votre vision à voir dans l'obscurité....


Les chambres sont simples. Elles sont muines de plusieurs pièces chacunes: la salle de bain, un bureau, le lit et l'armoire...

Krohn

Sans un regard de plus, Kohn suivit les deux hommes.
*Que lui voulait réellement Languor? Pourquoi s'intéressait-il à lui et pourquoi lui avoir sauvé la vie? *
Toutes ces question deumeuraient pour l'instant sans réponse mais il comptait bien le découvrir.
Le Sith se sentait nu san ses sabres et son armure. Qu'en avait donc fait cet homme? Une fois arrivé à la chambre, il claqua la porte au nez des deux individus et ne leur prêta pas attention.
Son regard fit le tour de la pièce, vaste mais sobre, dépouillée de toute décoration inutile. Les lieux respiraient la Force Obscure, tout comme la salle de l'autel. Au fond de la chambre, dans une niche, siègeait une petite statue qui représentait le même personnage que celle vue précédemment.
Méfiant, le Sith vint s'asseoir sur le bord du lit. Il ne pourrait pas dormir, ça il le savait. Allait-il accepter l'offre de ce seigneur? Bonne question... Et que pourrais lui donner d'être son bras droit... avait-il besoin de lui pour faire quoi que ce soit? Mais cet homme semblait fort... mieux valait se méfier et éventuellement, s'il ne lui cherchait pas querelle, apprendre quelques choses qui pourraient se révéler utiles... Intéressant...
Il se lit en position de méditation et resta ainsi toute la nuit. Languor finirait bien par venir le voir s'il désirait vraiment sa présence à ses côtés...
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La nuit passa mais personne ne vint. Il n'était pas parvenu à fermer l'oeil une seule minute, constamment sur ses gardes, à guetter le moindre bruit en provenance du couloir.
Que lui voulait donc cet homme et pourquoi l'avoir amené ici?
Agacé de se poser toutes ce questions depuis plusieurs heures, il décida qu'il était grand temps d'aller explorer les lieux. Avec ou sans permission, peu lui importait. Après tout, il ne lui avait pas demandé de rester cloîtrer dans sa chambre... ou interdit d'aller où que ce soit.
Discrètement, il entrouvrit la porte et regarda de part et d'autre du couloir. Personne à l'horizon...
*Tant mieux* se dit-il.
En silence, il traversa le corridor mais quelque chose l'agaçait. Il détestait le fait de ne pas avoir sa bure et le reste de ses affaires. Il explora ainsi les lieux, se débrouillant pour ne pas être vu des rares sbires, dociles comme des banthas, qu’il croisait, se dissimulant aisément dans la Force. Outre un salon et quelques pièces sans importance, près une multitude de couloirs et intersections, la porte qu’il ouvrit l’amena dans une grande salle, munie d’une grande table, entourée de fauteuils noirs. Au fond, il aperçut une autre issue qu’il emprunta.
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Lentement le sith regagna ses quartiers, évitant tous ceux qu'il croisait et ne leur adressant pas la parole. Il aimait le calme, la solitude et le monde présent ici le mettait assez mal à l'aise. Bientôt, il arriva dans le couloir des Maîtres et constata le calme qui y régnait. Peu de monde semblait y avoir accès. Le Dazen ouvrit la porte de ses appartemments et la referma sans bruit, en soupirant imperceptiblement. Il se retourna et demanda un peu de lumière avant de sursauter légèrement. Déposés sur son lit, son armure, plus propre que jamais l'attendait, ainsi que ses deux sabres, reposant sur des socles. Etonné, il s'approcha et passa la main dessus en s'interrogeant. Apparemment, Languor tenait vraiment à le voir participer à ce tournoi... Soit, se dit-il...
Après une bonne douche, il vint piocher des vêtements dans l'immense placard et les enfila. Ils ne semblaient attendre que lui, pensa Krohn en constatant qu'ils étaient parfaitement ajustés.
Méticuleusement, il démonta les différentes parties de son armues et l'endossa, appréciant de retrouver enfin quelque chose de familier ici. Puis il clipsa son premier sabre dans son dos et le deuxième à sa jambe droite.
Sans un bruit, le guerrier de l'ombre quitta ses quartiers pour se rendre à l'arène.

Darth Onaria

Elle abaissa sa capuche, laissant apercevoir dans la pénombre un visage fin à la peau très mate, aux traits éthérés dans lequel brillaient des yeux dorés. Ses très longs cheveux blancs qui cascadaient sur ses épaules et dans son dos, laissaient voir des oreilles pointues.
Elle regarda autour d'elle, puis, ne voyant pas âme qui vive, haussa les épaules et décida d'aller seule explorer les lieux afin de trouver un endroit où déposer ses affaires.
Attentive au moindre mouvement autour d'elle, la jeune femme s'engagea dans un couloir, cherchant un pièce vide où elle puisse s'installer. Au hasard, elle ouvrit une porte et découvrit une salle de dimensions respectables, mais vide, nue et austère. Elle ne contenait presque rien à part des meubles disparates et sombres, polis par le temps et un lit.
*C'est spartiate, mais cela fera bien l'affaire, inutile d'aller plus loin* se dit-elle en déposant sur son lit le sac qu'elle portait encore.
Cela fait, elle quitta l'endroit et en nota mentalement l'emplacement, avant de poursuivre ses investigations. Au fil de sa promenade, elle découvrit une pièce qu'elle estima être la cantina, puis emprunta un long couloir.

Reculant dans l'ombre, elle fit demi tour sans s'être identifiée auprès du combattant de l'arène et se dirigea ver ses appartements. Elle ne savait que penser, mais elle trouvait le maître de cette académie fort peu pressé d'accueillir de nouveau alliés. Se serait-elle trompée en venant ?
Parvenant devant sa porte, elle posa la main sur la poignée, mais hésita un instant au moment de l'ouvrir, risquant un coup d'oeil dans la direction d'où elle venait. Juste une seconde. Elle aurait mieux fait de ne plus y penser, mais cet homme, ce guerrier entrevu dans l'arène l'intriguait et la fascinait à la fois.

A l'autre bout du couloir déboula Krohn qui comptait bien rejoindre ses quartiers pour se laver et se changer. Nonchalamment, il ouvrit la porte. Malgré tout cette tuerie lui avait ouvert l'appétit. Mais bien des questions le hantaint encore. Il devait rester sur ses gards avec Languor. Qui pouvait savoir ce qu'il avait en tête...
Soudain, le Sith tourna la tête et son regard se posa sur la silhouette encapuchonnée.

Consciente du regard pesant sur elle, la frêle silhouette tourna un peu trop vivement la tête vers sa propre porte, ce qui eût pour effet de faire tomber sa capuche. Le tissu désormais absent révéla un visage à la peau très mate, fin et dont les traits ethérés lui conféraient une grande beauté. Ses yeux étaient dorés et ses cheveux, blancs comme neige et attachés en queue de cheval sur le sommet de sa tête, s'avéraient manifestement d'une grande longueur. Ce contraste saisissant accentuait encore l'exotisme de sa beauté si inhabituelle.
Mais comme aimanté, le regard de l'inconnue revint se poser sur lui et elle le fixa sans remuer le plus petit muscle.

Le Dazen la fixa encore un instant mais son regard restait froid. Elle était d'une beauté peu commue et jamais il n'avait vu semblable être jusque là, mais il n'avait guère envie d'entamer quelque dialogue que ce soit. Pas après ce tournoi idiot dont la mort des participants n'avait servi qu'à amuser la foule. Il se demandait même ce qu'il faisait encore ici et eu l'impression d'avoir échangé un tyran Sith pour un autre. Mais ça n'allait pas se passer ainsi. Il n'avait pas dit son dernier mot et Languor allait avoir du travail...
Au bout de quelques secondes, le guerrier détourna la tête et entra dans ses quartiers.

La jeune femme déglutit et soudain il lui sembla respirer plus librement. Sous ce regard, elle s'était sentie comme oppressée. Pourquoi ? Voilà ce qu'elle ne parvnait pas à déterminer. Son regard resta un instant fixé sur la porte derière laquelle le guerrier avait disparu, mais elle ne pouvait se résoudre à pousser la sienne. Laissant retomber sa main posée sur la poignée de porte, elle se dirigea vers l'extrémité du couloir. En passant devant la porte de ses appartements à lui, elle ne put s'empêcher de s'interroger : qui était-il ? Quel était sa position dans cette académie de l'ombre ? Pourquoi avait-il dû combattre dans cette arène ? Tant de questions... qui, elle le sentait, resteraient sans réponse à moins qu'elle ne vienne les lui poser. Mais sans savoir pour quelle raison, elle avait le sentiment qu'il était le genre d'homme à abhorrer les interrogations. Elle venait d'arriver et ne tenait pas à s'en faire un ennemi. En soupirant, elle passa son chemin et se décida à partir à la recherche du Maître de ces lieux. Elle n'allait pas paser des jours à errer seule dans les couloirs. Elle n'était pas venue pour cela.

De son côté, le Sith se lava puis se changea. Une fois que ce fut fait, il quitta ses quartiers prestemment pour gagné le réfectoire.

Revenu dans ses quartiers, le guerrier se laissa retomber sur son lit et attrapa sa cape. La fouillant, il en sortit un petit datapad qu'il gardait toujours sur lui avant de s'adosser à la tête de lit. Il commença comme il en avait coutume à le consulter et bientôt son visage laissa deviner que son esprit voguait loin, très loin... Dans le passé, un passé douloureux dont certaines blessures restaient ouvertes et continuaient à le faire souffrir. Ainsi plongé dans ses souvenirs, il ne prêtait plus attention à rien.

PNJ - Kayla

Dans le couloir sombre, Kayla marchait à petit pas. Elle arriva bientôt devant la porte de la chambre de Krohn. Elle tendit l'oreille, mais aucun son ne s'échappait, il ne semblait pas y avoir d'activté à l'intérieur, pourtant elle ressentait sa présence dans la Force. Elle posa lentement la main sur la poignée et la fit pivoter en douceur, jusqu'a ce que le clique lui indique que la porte était ouverte. Elle se glissa avec agilité à l'intérieur de la chambre. La lumière n'était pas allumée, il y avait juste ce voile de pénombre qui imprégnait les lieux d'un silence reposant. Elle retira ses chaussures pour limiter le plus possible le bruit des pas sur la moquette. Elle sondait la Force pour déceler un mouvement ou quoi que ce soit, mais le guerrier ne semblait pas bouger. Elle continua d'avancer à petit pas jusqu'à l'angle du mur. Elle jeta un coup d'oeil et la elle vu Krohn allongé sur son lit absorbé pas son datapad. Elle remit ses chaussures et marcha doucement dans la pénombre vers lui. Jusqu'à ce qu'un léger rayon de lumière d'une petite torche vint éclairer la moitié de son corps.

Le Dazen sursauta alors en ressentant sa présence et lâcha d'un ton abrupt, en rangeant le datapad dans le chevet:
- Que fais-tu là!!!

Kayla avanca un peu plus dans la lumière pour faire voir son doux et beau visage.

-"Eh bien je me suis dis que un peu de compagnie vous ferais du bien."

Elle s'allongea au pied du lit, les bras croisés derriere la tête, elle regarda Krohn avec son regard pétillant avant de sourire et de détourner la tête pour jeter un coup d'oeil autour d'elle.

-"Quel calme reposant n'est ce pas ? Rien de mieux pour réfléchir." Fit-elle avec un sourire à demi ironique. Puis elle soupira et fixa le plafond.

Le Dazen la fixa longuement avant de rétorquer:
- Qui vous dit que j'ai besoin de compagnie... Qui êtes-vous? Son animal domestique? Vous obéissez à tout ce qu'il vous ordonne? Dans quel mesure d'ailleurs...
En achevant sa phrase, le Sith affichait un sourire ironique et moqueur, qui donnait un sens certain à cette dernière tyrade.

La Twil'ek tourna lentement la tête vers Krohn, son regard n'était plus pétillant, son visage avait semble-t-il perdu toute beauté ...

-"D'une part je ne suis ni son animal domestique, ni quoi que ce soit d'autre en rapport avec la relation maître/esclave, je suis simplement son bras droit et le reste ne vous regarde pas. Deuxièment je viens simplement pour parler et vous m'aggressez ? Ne me prenez pas pour un Languor féminin, gardez vos préjugés et cessez de vous croire esclave et manipulé. Je suis une adoratrice du Côté Obscur tout comme vous, alors parlons de Sith à Sith, Languor n'a rien à voir là dedans." On sentait nettement la haine affluer au bout de ses lèvres, elle ne supportait pas que l'on la traite ainsi surtout après ce qu'elle avait vécut...

Effaçant à son tour le sourire qu'il arborait pour prendre un air des plus sérieux, le Sith redressa légèrement la tête et lâcha:
- Vous m'en voyez soulagé... le contraire m'aurait déçu... et votre réponse... était la seule que j'attendais...
Croisant à son tour les bras derrière sa tête et se laissant retomber contre la tête de lit, il continua:
- Ne vous méprenez pas sur mes réactions mais j'ai tué le tyran qui me considérait comme son esclave et je me réveille chez un Sith qui me fait faire un tournoi idiot dans une arène, j'ai amusé la galerie et ensuite je gagne quoi en retour? Une marque qui peut me rendre fou... Alors comprenez qu'il m'est plutot difficile d'avoir confiance en qui que ce soit ici... Quand à mon.... "adoration" (il articula particulièrement sur ces quelques mots), vous n'en savez rien... Vous ne savez rien de moi... et pour le moment cela ne changera pas.
Ayant achevé ce long monologue, le Dazen laissa le silence régneer de nouveau sur les lieux.

Le teint de Kayla reprit son naturel et sa beauté revint presque aussi vite que lorsqu'elle avait disparut.

-"Je ne sais plus si je vous l'est dis ou non, si c'est le cas je le répète, malheureusement vous ne connaissez pas Languor comme je le connais et pour lui le fait que vous ayez gagné ce tournoi révèle bien des choses auxquelles je ne pourrais pas répondre. J'ai beau être son bras droit et être proche de lui, il y a bon nombre de secrets qu'il ne me dis pas... ce qu'il vous a révélé au sujet de la marque je ne le savais pas, et je suis sur qu'il ne vous ai dis qu'une infime partie de ce que lui connais vraiment. J'ai l'impression que plus le temps passe plus ses secrets le rongent, durant certaines périodes où il ne se contrôle plus, il disparaît pendant quelques temps puis revient comme si rien ne c'était passé. J'avoue que depuis que vous êtes arrivé il n'était pas souvent à l'Académie, je ne sais pas ce qui se passe, mais j'ai peur que ce soit bien pire que je ne le pense..... enfin après tout je ne sais pas pourquoi je vous raconte tout ca, je ferais mieux d'y aller." Elle se leva et s'apprêta à quitter la pièce.

- Mais comment faire confiance à quelqu'un... qui souvent ne se contrôle plus? l'interpella-t-il encore.

Elle se retourna pour répondre.

-" Eh bien c'est mon rôle, faire en sorte qu'il reste le plus lucide possible. Si les Maîtres qui convoitent ca place le voit ainsi ils n'hésiteront pas à le défier, or il a su restaurer et maintenir l'équilibre de l'Ordre. Je ne vous demande pas forcément de lui accorder toute votre confiance, mais seulement d'éviter de le pousser à commetre une erreur. Je me charge de lui rendre sa pleine conscience ne vous en faites pas." finit-elle par dire en achevant par son sourire habituel et un clin d'oeil. Puis elle partit vers la porte.

- Et moi, tout ce que je demande.. c'est d'être libre... je ne veux pas faire parti d'un Ordre... ce n'est pas mon problème... J'ai combattu et j'ai gagné ma liberté. Et au final je me retrouve ici... Je ne veux ni puissance, ni gloire... Rien... Si ce n'est disparaître et qu'on me laisse en paix.... Est-ce trop demandé?
Son visage avait pris une expression indéfinissable empreinte de sérieux, de charisme et de tellement d'autres choses.

Kayla s'arreta de nouveau, la main sur la poignée.

- "Qui as dis que vous n'étiez pas libre ? Qui as dis que vous étiez totalement intégré à l'Ordre ? Pour ce qui est du reste je ne peux rien pour vous.... avertissez quelqu'un si vous décidez de partir ou appelez moi."

Et avant que Krohn est eut le temps de dire quoi que ce soit d'autre la porte se referma devant lui.

Regardant sa main, il murmura subitement avec hargne:
- Il sait très bien que je ne vais pas partir.. Pas avec ça... pire qu'une laisse...
Ayant dit cela et sentant la colère le gagner de nouveau, le Dazen fit voler ue chaise à travers la pièce par télékinésie et celle-ci se fracassa sur la porte avec vacarme.

Du temps passa, beaucoup de temps sans que le Dazen ne sorte de ces quartiers. Il médita longuement pour tenter de se calmer et continua de consulter son datapad, replongeant chaque fois dans ses souvenirs, dans son passé. Mais il était temps de passer à autre chose, de penser à son avenir. Mais pour le moment, celui-ci lui semblait sombre. Le Sith regarda une nouvelle fois le dos de sa main en maudissant ce tournoi et Languor qui l'avait poussé à y participer. Qu'attendait-il de lui?
Il était tôt et une fois habillé et armé, Krohn quitta ses appartements et se dirigea vers l'extérieur de l'académie.
Prenant un speeder, il entreprit d'aller visiter les alentours.

Le Dazen entra dans ses quartiers en trombe et claqua la porte à toute volée. Enervé il commença à ramasser ses affaires et entreprit d'endosser son armure. il ne comptait plus s'éterniser ici...

Kayla apparut alors essouflée, le tête vers le sol.

-"Vous ... n'avez pas ... du ... tout ... compris. Vos .. propos sont erronés."

Elle se redressa en soufflant très fort.

-"Si il vous a traité de 'faible' c'est pour vous faire réagir quand il a vu que vous fuyez devant l'orbre. Ensuite si vous croyez subir les même effets que lui, c'est faux. Sa marque date d'une vingtaine d'années...la votre non. Et puis si vous préférez gardez cette marque et fuir la réalité, et bien partez, rien ne vous retiens, il me semble vous l'avoir déjà dis."

- Je ne veux pas travailler pour un homme qui emploie la violence parce qu'on lui dit non... A e voir je n'avais pas le choix, pas le droit de prendre le temps de la réflexion... alors vous m'excuserez mais il ne m'a guère donné envie de rester...
Ayant dit cela il se tourna de nouveau vers ses affaires et continua de les ranger en silence. avant d'ajouter:
- Rien ici ne me donne envie de rester... personne... j'ai envie de vivre pas de me plier à des règles...
Le Sith pensa soudain qu'il n'avait pas pris de bon temps depuis... des lustres. PAs eu le temps de partager des moment d'intimité avec qui que ce soit depuis tellement de temps...
Il poussa alors un long soupire.